En cas d’abus, la réticence de la victime à confier ses problèmes peut être liée au malaise et à la douleur d’admettre que son fils ou sa fille, par exemple, s’approprie son argent et ses biens. Ce peut être aussi une question de crainte des représailles ou d’abandon. De plus, il ne faut pas sous-estimer la possibilité qu’une personne âgée, qu’elle soit en perte d’autonomie ou non, ne soit pas consciente de l’exploitation qu’elle subit.
Source : Abus financier envers un aîné : avez-vous des soupçons ? | Protecteur du Citoyen
