Les aînés québécois moins bien protégés que les animaux, selon le Conseil de protection des malades

Donald Tremblay, de l’AQRP, et Judith Gagnon, de l’AQDR, ont dénoncé le fait que tous les signalements concernant une situation potentielle de maltraitance soient étudiés par un commissaire local aux plaintes et à la qualité des services.

«Nous, on souhaiterait que tout le processus soit placé à la Commission des droits de la personne et de la jeunesse et […] qu’on ait un Protecteur des aînés, avec une équipe dédiée qui s’occupe de tous les cas d’abus et de maltraitance», a précisé Mme Gagnon.

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AQDR