Le gouvernement doit ajouter la «maltraitance institutionnelle» parmi les abus contre les aînés, a soutenu Judith Gagnon, de l’Association québécoise de la défense des droits des personnes retraitées et préretraitées. «Quand les gens ne reçoivent pas leurs services et croupissent parfois dans des conditions difficiles, est-ce que ce n’est pas une forme de maltraitance?» a-t-elle dit à l’occasion de la conférence de presse convoquée par François Paradis, porte-parole du deuxième groupe d’opposition pour les aînés.
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